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Pour le premier reportage de la saison nous recevons Maider qui nous parle sur la place de la langue basque dans la santé et sur le fait d’être jeune médecin.

Camille, bénévole dans le groupe communication d’EHZ nous explique son engagement pour le festival qui aura lieu le 1, 2 et 3 juillet à Irisarry!

out en étudiant l’agriculture, elle aide son père à la ferme. Argi nous partage sa vision du monde de l’agriculture et de l’alimentation, alors qu’elle rêve de vivre, plus tard, de l’agriculture.

Champion du monde de MMA amateur, Ximun nous a parlé de s discipline. Des entrainements tous les jours, des blessures, des rêves… Le sportif est plein d’émotions lorsqu’il entre dans la cage !

Alors que la 22ième Korrika vient de se terminer, Egoitz Urrutikoetxea nous rappel que nous devons travailler tous les jours pour pouvoir vivre en euskara. Il nous confie ses réflexions autour de ce qui a été fait, et les défis qu’il faudra braver dans le futur, en ce qui concerne la pratique de l’euskara en

Zibel Damestoy a réussi à faire de son rêve une réalité en devenant danseuse professionnelle au sein du collectif Bilaka Kolektiboa . Elle nous a partagé sa vision du monde à travers le prisme de l’art.

La réalité se reflète dans l’art de la souletine Annie Etxepare. Après avoir étudié au BTS photographie et aux Beaux-Arts, elle s’exprime à travers divers médiums : peinture, couture, linogravure…

À travers son nom de scène BHO, il exprime ses pensées et ses émotions en rimes. Il nous explique ce que le Hip Hop apporte à la jeunesse, tout comme ce que la jeunesse apporte au Hip Hop.

La radio lui a permis de faire de sa passion, un métier. Il a souligné la diversité de la langue basque que l’on peut entendre dans les radios basques, grâce aux bénévoles et salariés venant des 3 provinces du Pays Basque Nord. Enfin, il nous a rappelé un rendez-vous important : ce samedi, Gure Irratia

Le jeune Bayonnais de 23 ans est responsable didactique pour AEK à Biarritz. Il nous explique le travail qu’il y a derrière les cours de langue basque, et l’organisation de la Korrika. Il nous emmène de « gaueskola » en « gaueskola », nous montrant les pas à franchir sur le chemin de l’apprentissage de la langue basque, à